https://www.mediapart.fr/journal/international/050224/le-president-mack... Le président Macky Sall plonge le Sénégal dans la crise.
Trois semaines avant le premier tour de l’élection présidentielle, à laquelle il ne pouvait pas se présenter, le chef de l’État sénégalais a reporté le scrutin sine die. Une partie de l’opposition, vent debout, parle d’une « régression démocratique » inédite.
E n Afrique de l’Ouest, on connaissait les coups d’État militaires, qui se sont multipliés ces (…)
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Despotisme
Articles
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Le président Macky Sall plonge le Sénégal dans la crise | Mediapart
5 février, par Rémi Carayol -
Sénégal : NOUS TENIR ÉVEILLÉS
22 août 2023, par Felwine SarrEXCLUSIF SENEPLUS - Dans quelle démocratie élimine-t-on du jeu le parti le plus représentatif ? Les évènements récents en Casamance sont inacceptables. Pour nos sociétés, un désir de rupture avec un pacte colonial et ratifié par l’État postcolonial
Le président de la République du Sénégal avait promis de réduire son opposition politique à sa plus simple expression. Le ministre de l’Intérieur, en publiant le 31 juillet 2023 un décret signé par sa main et dissolvant le Pastef ; et le doyen (…) -
Le triomphe des « Eléphants » masque la fragilité politique de la Côte d’Ivoire
26 février, par Z. Bati AbouèFaciles vainqueurs en finale des Supers Eagles du Nigeria, les Eléphants de Côte d’Ivoire sont devenus la meilleure vitrine d’un pays qui affronte un profond malaise politique et social.
Après la fête qui a duré toute la nuit de dimanche, les Eléphants de Côte d’Ivoire ont présenté, lundi 12 février, jour déclaré férié par le gouvernement, la Coupe d’Afrique des Nations à leurs vaillants supporters, encore nombreux à avoir pris d’assaut les gradins du stade Houphouët-Boigny pour (…) -
Une année record d’élections vidées de leur sens en Afrique en 2024
16 janvier, par Mateo GomezL’année 2024 sera une année record pour les élections autour du monde. Plus de 4 milliards d’individus sont appelés à voter sur tous les continents. L’Afrique ne fait pas exception : vingt pays concernant 346 millions de citoyens organisent des scrutins cette année, du Maghreb au Cap de Bonne Espérance.
Nous vous présentons les perspectives de ces scrutins à venir. Pour la plupart, ces élections n’ont aucun contenu démocratique et pervertissent l’image même de la démocratie. Et cela au (…) -
Sénégal : Répression pré-électorale
9 février, par Human Rights WatchLes autorités devraient garantir les libertés fondamentales, et mettre fin aux détentions et poursuites arbitraires. Les autorités sénégalaises répriment l’opposition, les médias et la société civile. La promesse du président Macky Sall d’organiser des élections libres et équitables est en contradiction avec le fait que les autorités remplissent les prisons de centaines d’opposants politiques depuis trois ans. Les autorités devraient enquêter de manière efficace sur toutes les violences (…)
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La lugubre fin de règne de Paul Biya By Aza Boukhris - 25 avril 2019
6 mai 2019, par Aza BoukhrisLes années 2017-2019 pourraient entrer dans l’Histoire africaine comme celles qui auront vu la chute de despotes face à la révolte des peuples. Le président camerounais, Paul Biya, voit lui aussi son avenir fragilisé.
L’année 2019 restera comme celle de l’hécatombe des autocrates en Afrique. l ‘Algérien Abdelaziz Bouteflika (82 ans et près de 20 ans de présidence), le Soudanais Omar Al-Bechir (75 ans et près de 30 ans de présidence) ont été confrontés à la vindicte populaire comme le (…) -
LES MÉTAMORPHOSES DE LA QUESTION DU POUVOIR EN AFRIQUE
25 mars 2021, par Ada PouyeEXCLUSIF SENEPLUS - Le pouvoir sur le continent est calqué sur le post-colonialisme. Nous nous sommes retrouvés piégés par la capacité de mutation pour maintenir au pouvoir des régimes sous des formes vicieuses. « L’abus de pouvoir crée une société dans laquelle les hommes ne savent plus exercer leur liberté » - (N. Machiavel, Le Prince, chapitre XV).
Roi, président, père « fondateur », « Maréchal », « père de la Nation », « gardien de la constitution », avec des attributs qui défient la (…) -
Côte d’Ivoire : La mort de Gon Coulibaly met à nu les manœuvres du clan Dramane Ouattara
18 juillet 2020, par T.BrigaAmadou Gon Coulibaly est décédé. C’est la condition de notre existence à tous. Les êtres naissent avec un ticket de loto de la mort en mains. Les uns prennent leur gain très tôt, les autres, le plus tard possible. Mais c’est le seul loto, où tout le monde gagne toujours à la fin.
Le bal des faux culs.
Gon est mort de maladie. "Il le savait lui même, tout le monde sait, il avait une santé fragile" dixit dame Kandia Camara le 9 juillet 2020 à la TV du régime.
Rien n’interdit donc de (…) -
La résilience d’un Peuple et le Pacte.
24 mars, par Ciré Cledor LyDepuis les indépendances chimériques, le Sénégal a vécu ces cinq dernières années les moments les plus durs de son histoire. Des moments de répression intense, avec un régime politique sanguinaire qui a détruit tous les fondamentaux de l’Etat de droit et d’un système démocratique pourtant arrivé à maturité. Le Sénégal a ainsi souffert dans sa chair et payé le lourd tribut d’une résistance héroïque à la tentative de maintien et de pérennisation d’une caste politico-judicaire au pouvoir, (…)
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L’Etat du Sénégal doit respecter sa Constitution : celle du droit de manifester
1er décembre 2019, par Collectif Afrique ( CA)Ce vendredi 29 novembre, la manifestation devant le palais présidentiel contre la hausse du prix du courant a été réprimée. Neuf manifestants dont Guy Marius ont été arrêtés et mis en garde à vue.
Les manifestants du parti au pouvoir, l’APR, qui eux s’étaient battus devant les grilles du Palais présidentiel n’avaient fait l’objet d’aucune arrestation.
Non seulement il faut que cesse ces atteintes au droit constitutionnel de manifester et ces arrestations pacifiques de contestataires, mais (…)