Au total 1.180 employés d’une vingtaine d’entreprises de sous-traitance auprès des filiales du groupe nucléaire français Areva à savoir la SOMAÏR, la COMINAK et Imouraren, ont été licenciés depuis la signature du contrat, le 26 mai dernier à Niamey, avec le Niger, pour des raisons économiques, apprend-on jeudi à Niamey.
En rappel, le Niger avait signé, le 26 mai dernier à Niamey, après plus de 5 mois d’intenses négociations, un nouveau contrat d’exploitation de l’uranium nigérien avec le (...)
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Areva
Articles
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Niger/uranium : vague de licenciements dans les entreprises sous-traitant avec Areva
7 octobre 2014 -
Un document confidentiel exceptionnel montre l’emprise d’Areva sur le Niger
26 janvier 2013, par l’Observatoire du nucléaireUne cérémonie sera organisée à la mi-2015 pour simuler
le début de la production de la mine d’Imouraren et faciliter
ainsi la réélection début 2016 de l’actuel Président du Niger
Assigné à comparaître le 1er février 2013, et menacé de fait de disparition, l’Observatoire du nucléaire, n’entend pas baisser la garde et publie ce jour un document exceptionnel (*) qui montre comment Areva dicte, aujourd’hui comme depuis 40 ans, sa loi aux dirigeants du Niger, et qui confirme les (...) -
L’uranium nigérien : Au croisement des affrontements stratégiques
2 février 2013, par Julien TeilLe Niger est encore considéré par le PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement) comme le pays le plus pauvre du monde.1 Cette pauvreté est avant tout le fruit d’une impossibilité pour le peuple nigérien d’exprimer sa souveraineté à travers son propre appareil étatique. Pour la France, la question du Niger est très ancienne et date de l’époque coloniale. Dés 1956, des études géologiques révèlent la présence d’importantes mines d’Uranium dans le Sahara, en particulier dans la (...)
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Les observatoires de santé d’Areva au Niger et au Gabon : payer (un peu) pour polluer librement
10 septembre 2009Le 19 juin dernier, Areva a annoncé la mise en oeuvre d’observatoires de la santé sur ses différents sites miniers, en particulier au Gabon puis au Niger, en accord avec des associations (Médecins du Monde et Sherpa). L Cet accord intervient peu après l’inauguration de la gigantesque mine d’Imouraren au Niger, dont l’exploitation fait craindre des conséquences désastreuses. Conséquences déjà bien visibles autour d’autres mines que la Cogema, devenue Areva, exploite depuis 40 ans à Arlit. (...)
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Niger : conflit social pour Areva dans la mine d’uranium de Cominak
6 mai 2013(Agence Ecofin) - Les employés de la mine d’uranium de Cominak, dans le nord du Niger, ont entamé jeudi une grève de 48 heures pour exiger de la société française Areva le paiement d’un bonus de 600 000 FCFA par personne pour le compte de l’exercice 2012, a rapporté l’agence Reuters.
Les agitations ont surgi à un moment où la firme française tente de renégocier son contrat à long terme sur les mines de Cominak et Somair dans le nord désertique du Niger, pendant que les travailleurs lui (...) -
Gabon Niger - les OUBLIÉS de la contamination RADIOACTIVE AREVA
24 octobre 2012A Mounana au Gabon, AREVA a cessé les activités de sa filiale, la COMUF, en 1999. Sur place, une pollution radioactive des sols et des maisons construites avec des stériles miniers provoque de nombreuses maladies.
A Arlit, au nord du Niger, AREVA exploite deux mines depuis quarante ans. On relève aux alentours les mêmes effets : des mineurs locaux et des expatriés souffrent principalement de cancers des poumons.
Pendant 18 mois, Dominique HENNEQUIN et Pascal LORENT ont enquêté sur les (...) -
Areva au Niger : Il n’y a pas que l’uranium qui s’enrichit
19 mai 2009, par Jean-Charles HouelUn collectif comprenant la Ligue des droits de l’Homme, le NPA (Nouveau Parti anticapitaliste) le groupe ATTAC, les Verts, ainsi que l’association Sortir du Nucléaire a organisé une réunion publique, jeudi 9 avril au Moulin, pour contester la convention passée entre le groupe français AREVA et le gouvernement nigérien. Le Niger est, en effet, l’un des principaux pays dont le sous-sol contient des milliers de tonnes d’uranium. Implantée là-bas depuis quarante ans, la COGEMA devenue AREVA, (...)